Rumeurs, idées reçues, clichés, superstitions, légende : qui dit vrai ? qui dit faux ?

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La campagne d’assainissement du secteur des mototaxis sur le triangle national n’a toujours pas commencé. Le ministre de l’Administration territoriale (Minat), Paul Atanga Nji, avait pourtant annoncé des contrôles accrus des conducteurs de mototaxis à partir de ce 31 octobre. « Pour le moment, seules les mairies contrôlent l’impôt libératoire », indique Hilaire Nzouakeu, le président de l’Organisation syndicale des conducteurs de mototaxis et activités connexes du Cameroun (Oscomotacc).

Il rappelle toutefois que la campagne n’a pas été abandonnée, mais plutôt renvoyée en janvier 2024, soit dans deux mois. Sauf que le Minat n’a pas officiellement confirmé ce report. Malgré tout, les syndicalistes continuent d’assurer que la répression promise contre les conducteurs de mototaxis indélicats ne peut pas commencer cette année. « On a eu une réunion avec le gouverneur de la région du Littoral pendant laquelle ce report a été validé », fait savoir Hilaire Nzouakeu.

Ce dernier ajoute la gestion de ce dossier a été confiée aux gouverneurs de région par le Minat. Mais SBBC n’est pas en mesure de confirmer cette information. Ce qui est par contre évident, c’est que les syndicalistes demandent, depuis l’annonce de cette campagne d’assainissement, des mois supplémentaires pour mener une campagne de sensibilisation. Cette sensibilisation consiste à encourager les conducteurs de mototaxis à se doter de leurs pièces personnelles, la carte nationale d’identité et le permis de conduire en l’occurrence. Et les papiers de leur moto.

Pour le ministre Paul Atanga Nji il est impératif de sortir de cette activité tous les conducteurs de mototaxis qui n’ont pas toutes les pièces demandées afin de réduire le nombre d’agression et de viol. Dans une communication publique, Paul Atanga Nji a révélé qu’entre les mois d’août et de septembre 2023, plus de 700 agressions, 200 viols, 110 cas de détournement d’itinéraires et 930 cas d’accidents graves ont été enregistrés par les autorités camerounaises à travers le pays.

Michel Ange Nga

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Battu par l’Ouganda (0-2) au match aller du deuxième tour à Kampala, le Cameroun devait s’imposer par plus de deux buts d’écart lors du match retour pour espérer continuer l’aventure dans ce tournoi pré-olympique de la Confédération africaine de football (CAF) pour le tournoi féminin de football des Jeux Olympiques (JO) qui débuteront en juillet prochain à Paris, en France. Mission accomplie pour les Lionnes indomptables qui se sont imposées 3-0 après prolongations, mardi 31 octobre au stade de la Réunification à Douala.

Avec cette victoire, les coéquipières de Gabrielle Aboudi Onguene accèdent au troisième tour qualificatif et vont croiser le fer avec les Super Falcons du Nigeria, vainqueur de l’Ethiopie (4-0) après un nul à l’aller (1-1). Le sélectionneur national des Lionnes indomptables reconnaît qu’il faudra relever le niveau face à un adversaire aussi coriace. « On savait bien que si on passe l’Ouganda, il y aura le Nigeria. On va rester serein, on va continuer à travailler. On sait bien que, contre le Nigeria, il va falloir faire mieux que ce qu’on a fait dans les deux (précédents) matchs », a déclaré Jean Baptiste Bisseck sur RFI.

Ce troisième tour des qualifications au tournoi féminin des JO 2024 va opposer, en février prochain, les 8 équipes vainqueures du deuxième tour en matches aller-retour. Les quatre équipes victorieuses s’affronteront lors du quatrième et dernier tour en avril 2024, toujours en matchs aller-retour. Les deux vainqueurs du quatrième tour seront qualifiés pour les JO. Seuls cinq pays africains ont, pour l’heure, participé au tournoi olympique féminin de football depuis son avènement à Atlanta (Etats-Unis) en 1996. Il s’agit du Cameroun, du Nigeria, de l’Afrique du Sud, de la Zambie et du Zimbabwe. Le Nigeria est la seule nation africaine à avoir disputé le tournoi à trois reprises (2000, 2004, 2008).

P.N.N

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La Direction générale des douanes (DGD) annonce que le Cameroun et son voisin tchadien travaillent à fluidifier le trafic des marchandises qui traversent le corridor qui part de Fotokol, côté camerounais, pour Ndjamena, la capitale du Tchad. Pour atteindre cet objectif, les responsables douaniers des deux pays se sont engagés à mutualiser les contrôles le long de leur frontière commune. D’autres mesures du genre ont été envisagées. À commencer par « le respect strict de la limitation de la charge utile des camions en transit non conventionnel conformément à la réglementation sur le transport routier en territoire camerounais ».

L’ensemble de ces mesures sont devenues impératives à cause de la hausse du trafic des marchandises à destination du Tchad sur le corridor Fotokol-Ndjamena, comme le fait savoir la DGD. Cette situation est consécutive à la fermeture de la frontière entre le Tchad et le Niger, à cause de la situation politique due au coup d’État qui a renversé Mohamed Bazoum à Niamey. Pour ne rien arranger, la frontière entre le Tchad et le Soudan est aussi fermée à cause de la situation sécuritaire précaire qui règne au Soudan. Résultats des courses, la frontière avec le Cameroun est désormais très sollicitée.

« Il était donc urgent de mettre sur pied des mécanismes pouvant non seulement permettre la sécurisation des convois mais en assurer le passage fluide et rapide », comme l’indique la DGD. En ajoutant que pour mettre en place ces mécanismes, les gabelous camerounais et tchadiens sont descendus ensemble sur le terrain le long du corridor pour toucher du doigt la réalité.

Michel Ange Nga

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Les joueurs de Victoria United (Opopo) ont repris l’entrainement au début de cette semaine pour préparer le match de la sixième journée du championnat Elite One contre Avion Academy du Nkam. « Le travail continue », peut-on lire sur la page Facebook du club de Limbe. Une déclaration qui met fin au doute que Opopo entrainait, depuis quelques jours, sur la suite de sa participation à cette compétition.

Le 21 octobre dernier, les joueurs de Victoria United ne se sont pas présentés sur la pelouse du Centunary Stadium de Limbe. Approché par SBBC, le président Valentine Nkwain a refusé de donner les raisons de ce boycott. Mais des proches de Valentine Nkwain, eux, ont laissé croire que ce boycott annonçait la fin de la saison pour Opopo.

Dans les coulisses du football local, de nombreuses voix sont convaincues que c’est le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) qui a convaincu le président de Victoria United de poursuivre la compétition.  Samuel Eto’o Fils et Valentine Nkwain sont présentés dans la presse comme étant très proches. Ils se sont rencontrés en privé et chacun d’eux a publié les photos de cette rencontre. « Fière du travail que vous accomplissez avec votre équipe. Vous allez relever des défis, mais restez concentrés », a écrit Samuel Eto’o Fils à l’endroit Valentine Nkwain. 

Risque de sanctions

L’article 17 du Règlement du championnat professionnel Elite One de la saison 2023-2024 prévoit que tous les clubs engagés en Elite One s’engagent à « participer à tous les matches du championnat et de la coupe du Cameroun pour lesquels ils sont programmés ». L’article 28 indique qu’un match perdu par forfait est réputé l’être par trois buts à zéro.

L’article 14 du Code disciplinaire de la Fecafoot prévoit que « si un match ne peut être disputé du tout ou ne peut l'être que partiellement pour des raisons autres que la force majeure, mais en raison du comportement d'une équipe ou d'un comportement dont l'association ou le club est responsable, l'association ou le club sera sanctionné(e) d'une amende d'au moins 500 000 FCFA. Le match sera soit déclaré perdu par forfait soit rejoué ».

Le même article ajoute que « des mesures disciplinaires supplémentaires peuvent être imposées à l'association ou au club ». Sauf que pour l’instant, la Fecafoot n’a pas encore prononcé de sanctions contre Victoria United.

La sixième journée du championnat Elite One débute le 5 novembre prochain. Victoria United n’a remporté, pour l’instant, qu’un seul match contre Fauve Azur lors de la première journée de championnat.

Michel Ange Nga

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Au cours d’une cérémonie solennelle, hier 30 octobre à Yaoundé, l’État représenté par la ministre des Postes et Télécommunications (Minpostel), a signé un protocole d’accord avec la Cameroon Telecommunications (Camtel) sur la rétrocession de 78 brins de fibre optique, sur les 96 posés par l’énergéticien Eneo il y a 15 ans. D’après la Minspostel Minette Libom Li Likeng, la société AES Sonel devenue ENEO avait engagé un chantier de pose de fibre optique sur son réseau afin de « faire efficacement face aux exigences de gestion de son réseau électrique, notamment la modernisation de son système d’information et de contrôle ».

En effet, d’après la Minpostel, Eneo s’était engagée à construire une véritable infrastructure des télécommunications dans ce but. Or ce chantier plaçait l’énergéticien en marge de la loi régissant les communications électroniques au Cameroun, « la pose et l’exploitation d’un réseau privé indépendant de télécommunications étant conditionnée par l’autorisation préalable du ministre des Postes et Télécommunications », ajoute la Minpostel.

Un groupe de travail a ainsi été mis en place pour permettre à l’opérateur du secteur de l’électricité de concilier ses besoins en connectivité avec la loi en vigueur. « Un Protocole d’accord, a été signé le 19 septembre 2016 entre le Minpostel, le Minee (ministère de l’Eau et de l’Energie, ndlr) et ENEO, consacrant la cession à l’Etat, sans contrepartie financière, de 78 brins du câble en jeu, est-il apparu comme une réponse appropriée à ce problème : les besoins réels en capacité d’ENEO ayant été évalués à 18 brins, via une étude conduite par un cabinet indépendant ».

La ministre Libom Li Likeng révèle en effet qu’Eneo avait posé une fibre optique de 96 brins, de 78 brins au-dessus de ses besoins. Au tour de l’Etat de rétrocéder à la Camtel l’excédent de brins. Camtel étant le concessionnaire exclusif du réseau de fibre optique du pays.

La directrice générale de Calmtel, Judih Yah Sunday, rappelle que Eneo avait posé ses fibres en aérien sur le Réseau interconnecté sud de l’énergie électrique sur le segment Yaoundé-Boumynebel-Edea-Kribi-Douala-Limbe-Nkongsamba-Bafoussam-Bamenda.

L.A.

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Mgr Andrew Nkea s’est confié à nos confrères de Vatican news au terme, cette semaine, de la première session du 16e synode des évêques. L’archevêque de Bamenda, par ailleurs président de la Conférence épiscopale du Cameroun, a surtout commenté le rapport de synthèse des travaux en insistant sur le fait que les prélats du continent sont vent debout contre l’homosexualité.

« L’Afrique a insisté sur la théologie de la personne humaine et de la sexualité. Pour nous, en Afrique, le mariage c’est entre deux personnes : un homme et une femme. On a insisté là-dessus pour qu’on ne change pas la théologie de la personne humaine », a fait savoir Mgr Andrew Nkea. Il poursuit : « c’était pour nous quelque chose de très important et je pense que le synode a très bien compris que l’Afrique est différente du reste du monde. En plus le synode a appris quelque chose de nous ».

Cette priorité des évêques africains n’est pas anodine. En fait, avant le début du synode, le pape François a organisé une vaste consultation auprès des laïcs et des prêtres religieux du monde entier. Dans les multiples contributions, qui ont servi de corpus aux travaux de ce synode, la question sur la place des personnes LGBTQ + (Lesbiennes, Gays, Bi Trans, Queer, etc.) dans l’Eglise catholique est plusieurs fois revenue. Il n’était donc pas possible pour les évêques et le pape d’ignorer cette question.

Tout compte fait donc, l’Eglise catholique n’est pas encore prête à accepter les mariages entre les personnes de même sexe. Une victoire pour l’Afrique, comme l’a laissé entendre Mgr Andrew Nkea.

En plus de l’homosexualité, les religieux et les laïcs qui étaient autour du pape pendant les discussions du synode ont aussi discuté de la perception qu’il faut donner à la place de l’évêque. Mais aussi de l’évangélisation. « Nous sommes en mission. L’église existe pour la mission », conclut Mgr Andrew Nkea.

Michel Ange Nga

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En date du 30 octobre, le président de la République a signé un décret portant création et fonctionnement du Comité de coordination des politiques nationales de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive. Telle que sa dénomination l’indique, cette structure est chargée « d'assister les pouvoirs publics, les acteurs économiques, sociaux, financiers et non financiers, monétaires, ainsi que la population dans la lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive et de les sensibiliser sur la nécessité de cette lutte ».

Ce comité devra notamment appuyer l'Agence nationale d'investigation financière dans la coordination et le suivi des exercices d'auto-évaluation et d'évaluation. Ladite agence est déjà engagée dans des missions de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme. Entre autres missions, le nouveau comité devra d'assurer une meilleure coordination des services de l'Etat impliqués dans des missions qui lui ont été confiées, mais également de favoriser le renforcement des infrastructures nécessaires à la lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive.

Placé sous l’autorité du ministre des Finances, le comité est composé de membres d’administrations publiques impliquées dans la lutte contre le blanchiment de capitaux, de la sécurité, de la défense, des services de renseignement ; ou encore d’institutions financières.

Grâce à ce comité, le Cameroun renforce son arsenal institutionnel contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Le pays est en effet confronté depuis 2017 aux financements des activités terroristes de milices séparatistes des régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Les groupes armés dans ces régions reçoivent en partie leurs soutiens financiers de personnes installées à l’étranger. Des mouvements de fonds contre lesquels Yaoundé se bat pour faire stopper la violence dans lesdites régions.

L.A.

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La Marine nationale a annoncé ce jour avoir arraisonné le 23 octobre dernier au large des côtes de Limbe (région du Sud-Ouest) un navire « s'adonnant aux activités illicites parmi lesquelles le transport frauduleux d'importantes quantités de matériaux de construction ». Le navire arraisonné était le MV Nadine. La Marine ne donne pas plus de précision sur la provenance de ce navire, cependant, il existe d’importants échanges sur eau entre le Cameroun et le Nigeria voisin non loin. Le bateau arraisonné par le patrouilleur camerounais CNS Akwayafe « a été dérouté et mis à la disposition du commandant de la base navale de Limbe, pour diligences habituelles », fait savoir la Marine.

Il y a un peu plus d’un mois, le 25 septembre, c’est le patrouilleur hauturier CNS Le Ntem qui a arraisonné, toujours au large de limbe, le tanker MV Sea Eunice. D’après la Marine, le navire serait coupable de « coupable de plusieurs infractions, dont le défaut d'immatriculation et d'assurance, l'immigration clandestine, le soutage illicite ».

À noter également que dans le cadre de la sécurisation de la Zone économique exclusive du Cameroun, le patrouilleur Fifinda a arraisonné le 28 octobre dernier, puis dérouté vers Limbe, une pirogue « en provenance d'un pays voisin », et qui transportait 58 fûts de 250 litres de gazole chacun, soit 14 500 litres.

L.A.

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Dans un communiqué publié lundi 30 octobre, le ministre de la Santé publique (Minsanté), Manaouda Malachie, insiste sur le respect des mesures de prévention contre les pathologies transmises par les sécrétions lacrymales ou respiratoires, au moment où une épidémie de conjonctivite est en cours au Cameroun. « Il s’agit notamment de respecter l’hygiène des mains en se lavant régulièrement les mains avec de l’eau propre et du savon ou utiliser une solution hydroalcoolique ; éviter de se frotter les yeux ou de toucher son visage en cas de symptômes ; procéder à l’éviction des malades des milieux scolaire et professionnel ; limiter le contact rapproché avec les personnes atteintes de conjonctivite [et] privilégier l’usage des serviettes ou mouchoirs à usage unique », énumère le membre du gouvernement.

Il en profite pour rappeler au personnel soignant que le respect des règles de prévention et de contrôle de l’infection demeure de rigueur. Communément appelé « Apollo », la conjonctivite provoque une rougeur de l’œil et peut être accompagnée des symptômes suivants : démangeaison, écoulement clair ou purulent, paupières collées, vision floue. « C’est une maladie bénigne mais très contagieuse, dont les épidémies sont en général d’origine virale », explique le Minsanté. Selon les spécialistes en effet, les épidémies de conjonctivite sont généralement causées par des virus très contagieux qui se transmettent lors de contacts rapprochés entre personnes.

Ils survivent plusieurs heures dans l’environnement extérieur et peuvent se transmettre de manière indirecte via des objets contaminés (poignées de porte, ustensiles, mouchoirs, serviettes, etc.). Manaouda Malachie ne précise toutefois pas le nombre de cas recensés jusqu’ici. Il indique juste que de nombreux établissements scolaires sont des clusters de la conjonctivite. « Face à cette situation qui constitue un risque majeur de propagation en communauté et plus spécifiquement en milieu scolaire et professionnel, le Minsanté invite les populations à se rendre dans la formation sanitaire la plus proche en cas de symptômes » peut-on lire dans le document.

Patricia Ngo Ngouem

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Du 11 au 13 août 2023, une campagne de chimio prévention du paludisme saisonnier organisé par la délégation régionale de la Santé publique pour la région de l’Extrême-Nord a permis de traiter 946 006 enfants de 3 à 59 mois. C’est ce que rapporte le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA) dans un rapport. La campagne a été menée dans les 32 districts de santé de la région.

Les données contenues dans ce document indiquent que 42 744 personnes ont été sensibilisées sur l’adoption des comportements sains, 7 214 cas de paludisme simple ont été pris en charge dans plusieurs localités et environ 54 décès liés au paludisme ont été rapportés à travers la région au cours du mois d’août.

« Dans le camp de réfugiés de Minawao, 11 095 consultations curatives ont été réalisées, 567 enfants ont été vaccinés à travers le Programme élargi de vaccination de routine, et 194 femmes enceintes ont bénéficié d’orientations et de conseils ainsi que du dépistage du VIH dans le cadre de la prévention de la transmission mère-enfant », peut-on lire dans le rapport.

L.A.

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