Entre le 11 et le 20 février, les régions de l’Extrême-Nord, du Nord, de l’Adamaoua, du Centre, de l’Est et du Littoral devraient subir un « risque élevé d’augmentation des températures maximales et des situations de canicule ». Cette prévision de l’Observatoire national sur les changements climatiques (Onacc) est contenue dans une récente alerte. Les températures devraient ainsi varier entre 33 et 40 °C.
Ces températures vont néanmoins contraster avec un « risque de diminution des températures minimales et des nuits chaudes ». Cela va s’observer dans les régions suscitées où « une augmentation de l’indice du nombre de jours avec des températures minimales comprises entre 12 et 18 °C » sera observée.
Cependant, l’Onacc prévoit quelques pluies sporadiques, dans les régions du Sud, du Nord-Ouest, du Littoral et du Sud-Ouest. Le même phénomène est d’ailleurs attendu dans toutes les autres régions du pays.
Il y a quelques jours, c’est le Direction de la météorologie nationale, logée au ministère des Transports, qui annonçait quelques perturbations dans le climat. Un nuage de poussière qui s’était en effet levé dans le centre du Tchad voisin est en train de traverser une partie du pays, notamment les régions septentrionales. Ce nuage de poussière, avertissent les experts, peut être dangereux pour la santé. Et en réduisant la visibilité, il peut également être à l’origine des accidents de la route.
L.A.
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