Rumeurs, idées reçues, clichés, superstitions, légende : qui dit vrai ? qui dit faux ?

résultats (8804)

Pour l’année en cours, le ministère des Travaux publics (Mintp) a prévu de transférer pas moins de 14 milliards FCFA aux Collectivités territoriales décentralisées. Ces fonds décentralisés sont destinés à des travaux d’aménagements et d’entretien routier. Les 10 conseils régionaux devraient recevoir 2 milliards FCFA contre 12 milliards FCFA pour 360 communes que compte le pays.

Chacune des régions devrait recevoir à parts égales 200 000 millions FCFA pour des travaux de réhabilitation ou de construction d’ouvrage d’art. Le total du linéaire concerné est évalué à 119 km, d’après un document du Mintp consulté par SBBC.

Du côté des communes, c’est plus de 1 200 km de routes qui devraient être aménagées ou réhabilitées.

En rappel, le ministère des Travaux publics prévoit de livrer cette année plus de 800 km de routes bitumées, 504 km de routes bitumées entretenues et 2 500 km de routes en terre entretenues. Pour ce faire, le Mintp a demandé et obtenu du Parlement l’allocation d’un budget 2024 qui s’élève à 569 milliards FCFA, 508 milliards FCFA pour l’investissement et 45 milliards FCFA destinés au Fonds routier.

L.A.

Publié dans POLITIQUE

Dans un décret signé hier 14 février, le président de la République décide de l’institution d’obsèques officielles, « en l’honneur de monsieur Owona Joseph, ancien ministre, membre du Conseil constitutionnel ». Ces obsèques officielles se tiendront le samedi 17 février à Akom Bikoe, dans le département de l’Océan, région du Sud.

Professeur agrégé et universitaire émérite, le professeur Joseph Owona était un enseignant de droit constitutionnaliste. Il est décédé le 6 janvier dernier en France.

Après avoir été plusieurs fois ministre, secrétaire général de la présidence de la République et éminence grise du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) au pouvoir, le professeur Joseph Owona a dirigé un comité de réécriture des textes de la Fédération camerounaise de football. Depuis 2020, il était l’un des membres du Conseil constitutionnel.

L.A.

Lire aussi:

Décès de Joseph Owona : les réactions de Maurice Kamto, Cabral Libii, Akere Muna Joseph Le, Mouelle Kombi…

Nécrologie : décès du professeur Joseph Owona, ancien ministre et proche collaborateur de Paul Biya

Publié dans POLITIQUE

SBBC a appris de sources diplomatiques que l’ancien Premier ministre (2009-2019), Philemon Yang (photo), a été adoubé ce 14 février par l’Union africaine (UA) pour occuper la fonction, en septembre prochain, de président de la 79e Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) qui correspond à la session de l’année 2025. « Tout s’est joué au sein du Comité ministériel de l’UA sur les candidatures africaines aux postes de responsabilité dans le système international », précise un diplomate camerounais présent à Addis-Abeba, siège de l’UA.

« On sait qu’après cet adoubement, le reste sera des formalités c’est-à-dire l’adoption de la décision par le Conseil exécutif de l’UA et par la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’UA. Puis, l’élection elle-même à New York, entre mars et juin 2024, devrait être aussi une formalité, le poste revenant à l’Afrique cette année pour succéder au Trinidadien actuellement en poste », confie notre source. Pour elle, il s’agit donc d’une première victoire non seulement pour le Cameroun, mais aussi pour la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) qui a décidé de faire bloc derrière la candidature du Cameroun. Les onze États membres de la CEEAC s’étaient en effet accordés à apporter leur soutien à Philemon Yang, lors de la 23e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’organisation sous régionale en juillet dernier au Gabon.

Si Philemon Yang est élu, il deviendra le deuxième président de l’Assemblée générale originaire d’Afrique centrale à occuper cette fonction depuis la création de l’ONU, après le Gabonais Jean Ping en 2005. Jusqu’ici, ce poste sourit davantage aux pays anglophones du continent qui l’ont déjà occupé neuf fois.

L’Assemblée générale est la principale instance d’élaboration des politiques de l’ONU. Son président, choisi chaque année trois mois avant l’ouverture de la séance plénière, occupe une fonction administrative. Elle consiste à organiser les débats et les travaux de l’instance mondiale. À ce poste, Philemon Yang aura à prononcer l’ouverture et la clôture de chaque séance plénière, diriger les discussions, assurer l’application du règlement ou encore donner la parole. Le président peut également émettre des recommandations à l’Assemblée sur l’ordre du jour. Il détient en outre le pouvoir de limiter le temps de parole et le nombre d’interventions des représentants, de même qu’il peut ajourner la séance, selon le règlement intérieur de l’ONU.

Patricia Ngo Ngouem

Lire aussi :

Présidence de la 79e AG de l’ONU : Yaoundé promeut la candidature de Philemon Yang en marge du sommet des Brics

Publié dans POLITIQUE

L’institut national de la statistique (INS) prévient dans un récent rapport que cette année, « les tensions inflationnistes, qui ont pris racine en 2021 à cause du COVID-19, puis ont commencé à monter en puissance au cours de l’année 2022 avec le conflit russo-ukrainien, ont continué de s'intensifier en 2023, conduisant le pays à un taux d’inflation de +7,4% ». Dans ce document, les analystes s’accordent que même si la normalisation des chaînes d'approvisionnement, la baisse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires, l'adoption de mesures de resserrement de la politique monétaire par la plupart des banques centrales, peuvent conduire à une diminution de l'inflation en  2024, « il est prévisible qu’à la suite de la révision à la hausse des prix du carburant le 3 février 2024 et la répercussion directe ou indirecte sur les autres prix, notamment ceux du transport, des produits vivriers et des produits manufacturiers, le taux d’inflation se situe aux alentours de 7,0% en fin 2024 ».

Face à ces tensions inflationnistes, l’INS recommande au gouvernement d’accélérer la mise en œuvre de la politique de transformation structurelle de l'économie, socle de la Stratégie nationale de développement 2020-2030 (SND30). « Ceci est d'autant plus crucial si le conflit russo-ukrainien et les tensions au Proche-Orient perdurent, avec des conséquences inflationnistes potentiellement persistantes », fait savoir l’INS.

Entre autres mesures pour freiner l’inflation, l’Institut recommande le développement de l’offre agricole et les unités de transformation, accélérer la restructuration et la modernisation de la Sonara, de même que les ressources énergétiques alternatives ; ou encore l’amélioration de la compétitivité des entreprises et du climat des affaires, « ainsi que la lutte contre les oligopoles, les monopoles, les ententes et les abus de position dominante ».

L.A.

Publié dans ECONOMIE

Dans un communiqué publié mardi 13 février, la société Thychlof rejette les accusations de non-paiement des salaires comme cause de l’entassement des ordures ménagères dans la ville de Yaoundé. D’après la direction de cette entreprise, lorsqu’un pic dans l’amoncellement des ordures a été atteint en septembre et octobre 2023, une opération spéciale d’enlèvement a été organisée avec l’appui des pouvoirs publics. Des volontaires supplémentaires recrutés pour renforcer les effectifs de la Thychlof. Après quoi, affirme cette entreprise, « ils ont été payés contre décharge ».

Par cette sortie, Thychlof dégage sa responsabilité dans le retour des tas d’immondices qui jonchent à nouveau les routes de la ville de Yaoundé.

Début 2023, le maire de la ville de Yaoundé, Luc Messi Atangana avait présenté Thychlof comme « le nouvel opérateur (qui) vient en appui à Hysacam. Ce nouvel opérateur est sur le terrain depuis quelques mois et dispose d’une flotte déjà visible sur nos routes ».

Depuis quelques années, la mairie de Yaoundé a entrepris d’ouvrir le secteur de la collecte des ordures ménagères à d’autres entreprises. Le secteur était jusque-là monopolisé par Hygiène et salubrité du Cameroun (Hysacam), qui depuis plusieurs années, fait face à des difficultés financières. « Hysacam était le seul jusqu’à présent et débordé par le volume de travail accentué par l’incivisme », avait alors justifié le maire Luc Messi Atangana.

Thychlof affirme employer à ce jour 250 personnes. Un effectif qui est périodiquement augmenté, en fonction des situations de crise d’insalubrité.

L.A

Lire aussi:

Yaoundé : face à l’insalubrité, le maire veut taxer la production des déchets et recruter d’autres collecteurs d’ordures

Yaoundé : un nouvel opérateur pour appuyer Hysacam dans la collecte des déchets ménagers

Publié dans SOCIETE

Dans un article publié ce 14 février, Lewis Mudge, le directeur Afrique centrale de l’ONG internationale Human Rights Watch, dénonce le dilatoire de la justice camerounaise dans le procès lié au massacre de Ngarbuh, un village situé dans la région du Nord-Ouest du Cameroun. Il rappelle dans cet article que le tribunal militaire de Yaoundé, qui juge les trois militaires inculpés pour meurtre, a déjà procédé à trois renvois. Human Rights Watch souhaite que la prochaine audience ne soit pas renvoyée comme les précédentes. « Il est grand temps que les autorités judiciaires évitent de nouveaux reports et s’engagent à rendre justice », écrit Lewis Mudge.

Lors de l’audience du 16 novembre 2023, avant les multiples reports, indexés par Human Rights Watch, des témoins du massacre s’étaient exprimés et des comptes-rendus de l’investigation avaient aussi été présentés, si on en croit l’ONG qui défend les droits humains à travers le monde. Elle souhaite désormais que le tribunal reprenne cette affaire où elle s’est arrêtée il y a trois mois maintenant.

On se rappelle que c’est le 14 février 2020 que des hommes armés ont attaqué Ngarbuh causant la mort d’une vingtaine de personnes, dont des enfants et une femme enceinte. En mars 2020, une commission d’enquête mise en place par les autorités camerounaises a conclu que des militaires camerounais étaient impliqués dans ce massacre. Trois militaires ont été inculpés pour meurtre. Ils sont jugés depuis décembre 2020.

Michel Ange Nga

Lire aussi:

Massacre de Ngarbuh : Belgique, États-Unis et Grande-Bretagne font pression pour faire avancer la procédure judiciaire

Massacre de Ngarbuh : Human Rights Watch fait pression pour accélérer la procédure judiciaire, deux ans après le drame

Publié dans SOCIETE

Selon des informations du ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra), la task-force chargée de suivre l’avancement des travaux de réalisation du Système informatique de gestion des personnels de l’État de deuxième génération (Sigipes II) évalue le niveau des travaux à 80%. Si on en croit la même source, la mise en service de Sigipes est prévue pour le premier trimestre de cette année « sauf cas de force majeure », précise toutefois le Minfopra.

En tout cas, ces prévisions ne font pas mentir le ministre de la Fonction publique et de la réforme administrative, Joseph Lé. L’année dernière, ce dernier avait promis de livrer ce chantier cette année, sans donner de date précise. Il avait à l’époque indiqué que son département ministériel plaçait la mise en service de Sigipes II au nombre des priorités du Minfopra.

Tout laisse donc croire que ce progiciel censé améliorer la gestion des carrières des personnels de l’Etat va être livré cette année. Tout d’abord parce que Joseph Lé, lui-même, admet que Sigipes II est une urgence pour la fonction publique camerounaise. La raison n’est pas cachée : cet outil va permettre d’améliorer la mobilité des fonctionnaires d’un ministère à un autre tout comme il va offrir les moyens techniques de gérer les cas d’abandon de poste et de décès avec plus d’efficience.

Mais tout porte à croire que Joseph Lé tient aussi à livrer Sigipes II cette année parce que le projet commence à dater. En rappel, c’est après sa prise de fonction au Minfopra, en mars 2018, que le Premier ministre, Joseph Dion Ngute lui a confié la mission de construire ce progiciel. Les travaux ont débuté le 21 septembre 2021, plus de deux ans aujourd’hui. Sans oublier qu’avant Joseph Lé, une tentative de mise en route de Sigipes II avait échoué.

Michel Ange Nga

Lire aussi:

Gestion des personnels de l’État : Joseph Lé annonce le lancement du Sigipes II en 2024

Publié dans SOCIETE

La semaine dernière, la ministre de l’Habitat et du développement urbain (Minhdu), Célestine Ketcha Courtès, a dévoilé le linéaire des axes routiers urbains concernés par les travaux de réhabilitation et de construction cette année. Elle parle de près de 146 kilomètres de voirie répartis dans plusieurs grandes villes du pays, notamment à Maroua et Bamenda où certains axes sont en travaux en ce moment. L’ensemble de ces travaux concourent à améliorer la mobilité urbaine, comme on l’explique au Minhdu.

En 2024, la mobilité urbaine est présentée comme la principale priorité de ce département ministériel, juste devant le logement. Célestine Ketcha Courtès ne cache pas que l’amélioration de la mobilité urbaine va absorber près de 70% des ressources financières du Minhdu. Qui a un budget de 148,4 milliards de FCFA pour l’exercice en cours.

En plus d’améliorer la voirie urbaine, le Minhdu mise aussi sur le développement des voies de contournement, la réhabilitation des carrefours… sont aussi censés fluidifier les déplacements dans les grandes villes du pays. A Yaoundé, le Minhdu s’apprête à lancer le projet « Cœur de ville », dont l’ambition est de réaménager l’infrastructure routière au centre-ville de la capitale afin de décongestionner le trafic. Il est financé à hauteur de 46,2 milliards de FCFA par l’Agence française de développement (AFD) au travers du mécanisme Contrat de désendettement et de développement (C2D). De même, l’Etat du Cameroun compte apporter une enveloppe de 8,5 milliards de FCFA.

Michel Ange Nga

Lire aussi:

Réhabilitation de la voirie de Maroua : la qualité des travaux sous le feu des critiques

Publié dans SOCIETE

Le ministère de la Fonction publique et de la réforme administrative (Minfopra) n’est pas resté atone après le message du député Cabral Libii aux jeunes camerounais, quelques jours avant la célébration du 11 février, la Fête nationale de la jeunesse. La cellule de communication du Minfopra parle « d’une mise au point suite à la sortie médiatique indélicate » du président national du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN).

Dans cette mise au point, le Minfopra dément tous les soupçons de détournements de deniers publics évoqués par Cabral Libii. Quand ce dernier dénonce des soupçons de prévarication de plus de 15 milliards de FCFA dans le cadre de la mise en œuvre du projet Sigipes II (Système informatisé de gestion intégrée du personnel de l'État et de la solde), le Minfopra assure que, depuis l’arrivée de Joseph Lé (photo) au Minfopra en mars 2018, la mise en œuvre de ce projet, censé améliorer la gestion du personnel de l’État, se poursuit sans anicroches.

Polémique

Il en est des soupçons de détournements comme des tripatouillages mis à l’index par le député Cabral Libii. Le Minfopra dément toutes accusations du genre. A commencer par la polémique sur l’intégration de près de 10 000 personnes dans la fonction publique sans passer par voie de concours au prétexte qu’il s’agissait d’anciens personnels de la présidence de la République. « Cette déclaration est totalement fausse, invraisemblable, dénuée de tout sens et de toute raison, pour qui maîtrise le dispositif y relatif », peut-on lire dans la mise au point du Minfopra.

Ce document poursuit : « en application des très hautes instructions du président de la République, la situation administrative des personnels en condition d'emploi précaire en service dans quatre administrations, à savoir la présidence de la République (intendance et cabinet civil), les services du Premier ministre, le Mindef (ministère de la Défense) et le ministère en charge du Contrôle supérieur de l'État, a été régularisée ».

Dans son message, Cabral Libii dénonce aussi des tripatouillages d’un ancien chef de secrétariat particulier au Minfopra, qui vendait des places à la fonction publique contre des sommes d’argent. « Le chef de secrétariat particulier d’un département ministériel, dont les missions sont clairement indiquées par le texte organique, n’est mêlé, ni de près ni de loin, aux opérations de recrutement des agents publics », précise la mise au point du Minfopra. Qui dément ces accusations.

Michel Ange Nga

Publié dans POLITIQUE

Déforestation, braconnage, zoonoses… les dangers sont nombreux pour les primates. En 30 ans, 75% des chimpanzés d’Afrique de l’Ouest ont disparu. On considère ainsi qu’il en reste moins de 450 000 dans le monde, dont moins de 3 500 au Cameroun, et ils sont tous sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) des animaux en voie de disparition. Et pour cela, l’association Papaye International, engagée dans la sauvegarde des chimpanzés, met en place des animations (jeux, quiz, documentaire…) pour sensibiliser les élèves le 19 février prochain à Yaoundé et le 28 février à Mouanko qui abrite une conservation.

À travers ces animations, l’association veut permettre aux élèves, principalement ceux du complexe scolaire la Marfée Marie Claire Noah et du lycée français Fustel de Coulanges, d’en savoir plus sur ce « cousin », puisque l’Homme et le chimpanzé ont 98% de leur ADN en commun. Il est aussi question de leur permettre de connaître les « bons gestes et réflexes » à adopter face à un animal sauvage protégé qui serait blessé, malade ou captif. « On ne peut protéger que ce que l’on connaît. Dans les écoles françaises, on apprend l’importance de protéger l’environnement dès le plus jeune âge. Seuls l’éducation et l’apprentissage nous sensibilisent à la protection de la nature et partager notre savoir fait partie de nos responsabilités », affirme l’association.

Bien qu’espèce protégée au Cameroun, le chimpanzé est encore braconné, car il considéré par beaucoup comme de la viande de brousse. « Notre travail est donc aussi de faire connaître le chimpanzé aux populations afin que leur regard sur ce grand primate change et qu’ils apprennent à le considérer et à le respecter comme l’être précieux et rare qu’il est », justifie Papaye International. À travers ses campagnes de sensibilisation, l’association espère amener les populations, adultes comme enfants, à découvrir que le chimpanzé « est un des trésors » de leur pays, et qu’ils apprennent par conséquent à le protéger. Et pourquoi pas, susciter des vocations de soigneurs auprès des écoliers…

Créé en 2001, Papaye International est présent au Cameroun dans le sanctuaire situé dans la région du Littoral et du Sud, dans le parc naturel d’État de Douala-Edéa, au bord du fleuve Sanaga, à Okokong et à Mouanko. En dehors de la sensibilisation à la protection de la biodiversité, l’association mène des actions humanitaires auprès des populations aux abords du sanctuaire et travaille avec le ministère des Forêts et de la Faune pour lutter contre le braconnage et la déforestation en sensibilisant les villages avoisinants, en faisant intervenir la conservation de Mouanko pour que des actions de répression soient mises en place pour éradiquer autant que faire se peut ces actions illégales.

P.N.N

Publié dans SOCIETE
Page 20 sur 881